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Tu es sûrement une sorcière [Terminée]

Hana Renfield
Sorcière

Hana Renfield
Sorcière
Dim 12 Avr - 17:13
Hana Renfield
Nom : Renfield
Prénom : Hana
Sexe : Féminin
Age : 23 ans

Origines : Anglaises
Orientation : Hétérosexuelle
Métier : Etudiante en littérature moderne, 2ème année et sorcière ratée. Il paraît pourtant qu'elle serait une élue de la Mère de la Nuit.

Feat : OC métisse de Yaoyao
Quand elle est née, Hana s’est retrouvée sous la protection directe de Cernunnos. Protégée de ce dernier, elle a été élevée dans le but de faire de grandes choses. Le problème, c’est que Hana et la sorcellerie, ça ne fait pas bon ménage. En effet, la jeune femme n’a aucun talent pour ça et tout ce qu’elle tente de faire finit indubitablement par échouer. L’art sombre qu’elle a choisi d’étudier – ou plutôt que sa mère a choisi pour elle – est l’envoûtement. Son frère lui a enseigné ce qu’il a pu, mais ses échecs répétés ont fini par lui donner une mauvaise image de la sorcellerie. Elle a abandonné l’idée de réussir à faire quoi que ce soit de ces dons qu’on lui a octroyé à la naissance. Depuis qu'ils ont quitté le Pays de Galle pour l'Autriche, Hana se retrouve sous la protection de la Mère de la Nuit. Elle la respecte et lui obéit évidemment, mais elle ne parvient pas à comprendre pourquoi c’est elle qui a été choisie par ces deux entités.

Si pendant un long moment, la jeune femme a refusé de se mêler au Coven par honte, son frère a fini par lui trouver un rôle qui lui plait davantage. En effet, depuis quelques années maintenant, Hana retranscrit chaque cérémonie, chaque réunion, chaque procès qui ont lieu au sein du Coven. De cette façon, elle trouve plaisir à y participer même si elle se sent toujours mal à l’aise en présence des autres sorciers, choisis par son frère pour la protéger, elle. Elle estime ne pas mériter tout cela.

Les arts sombres lui sont peut-être difficiles à mettre en pratique, mais Hana aime se servir des pierres et des plantes. De temps en temps, elle tente de préparer quelques petits sortilèges, mais comme le reste, ça échoue plus souvent que ça ne réussit.
Hana ne fait pas son âge. Si elle est majeure depuis déjà quelques années, beaucoup lui donnent encore à peine la majorité, ce qui a tendance à la vexer. Atteignant tout juste le mètre soixante, elle paraît bien petite aux côtés de son grand-frère, et sa corpulence va avec sa taille. Mince, elle possède tout de même quelques formes au niveau des hanches et une poitrine ni trop grosse ni trop petite visible sous ses vêtements colorés. Prenant du poids facilement, elle fait attention à ce qu’elle mange, bien que faire des écarts ne lui pose pas de problème. Elle n’aime pas le sport mais se force à en faire régulièrement pour essayer de garder un minimum la ligne, surtout qu’elle adore les pâtisseries et qu’elle ne se prive pas pour en manger. Hana a le visage rond et la peau basanée, des yeux bruns et chaud qu’elle tient de son père et des cheveux mi-longs et bouclés qui lui arrivent un peu en-dessous des épaules (quand ils sont lisses, ils atteignent facilement le milieu de son dos).

Hana est une jeune femme douce et sereine, la majorité du temps du moins. Elle aime se poser dans sa balancelle œuf pour lire des livres, écouter de la musique reposante, chanter dans son appartement, peindre des choses sans aucun sens juste pour le plaisir de sentir l’odeur de la peinture, mais ce qu’elle aime par-dessus tout, c’est écrire. En effet, la jeune femme retranscrit tout. Le soir, elle rédige ce qui lui est arrivé dans la journée, même si cela se résume à avoir passé l’après-midi allongée au soleil pour lire le dernier livre de son auteur préféré. Mais elle note également les choses plus importantes, les réunions du Coven par exemple. C’est la seule chose qui la pousse à y participer, bien qu’elle ne mentirait pas en disant que c’est aussi pour faire plaisir à son frère. Parlons-en de ce dernier. Hana éprouve pour lui un amour fraternel très fort, parfois même comme une fille envers son père. Si leur différence d’âge est parfois une barrière entre eux, cela ne la dérange pas très longtemps. Elle aime passer du temps avec lui en cuisine, à parler de lecture, ou de tout autre sujet de conversation futile. Même s’il est le plus âgé, elle a parfois l’impression d’être la plus mature quand elle se retrouve à devoir lui dire où est rangée telle ou telle chose. Il faut dire qu’elle possède une excellente mémoire, retenant même le détail le plus insignifiant.

Mais Hana est loin d’être parfaite, évidemment. Si elle paraît douce en apparence, elle n’en a pas moins un sale caractère quand elle le décide. Les traumatismes de son enfance ont fait naître une colère insoupçonnée en elle qui, parfois, peut éclater sans prévenir. Elle a tendance à garder les choses pour elle, jusqu’au jour où le moindre petit dérapage peut la faire exploser. Dans ces cas-là, elle hurle, insulte, casse et peut même jusqu’à se faire du mal à elle-même. Il lui faut toujours un moment pour réussir à se calmer et il est rare qu’elle y parvienne sans son frère.  Elle également très têtue et déteste quand son frère voit en elle qu’une enfant. Même s’ils s’aiment, les disputes sont assez courantes. Elle déteste avoir tort et n’hésite pas à user de mauvaise foi pour contredire ses pairs.

Après avoir passé près de la moitié de sa vie isolée et entourée d’adultes sans avoir d’amis, Hana a mis du temps à s’ouvrir aux autres. Depuis qu’elle a découvert l’école et le monde extérieur, elle est parvenue à se sociabiliser et à se faire des amis. Néanmoins, la peur de la solitude a créé en elle une peur du conflit et elle a tendance à dire oui à tout ce qu’on lui propose – ou presque – juste pour faire plaisir. La popularité est importante pour elle et elle fait tout pour que les gens l’apprécient, toujours. Déplaire à quelqu’un la rend malade et elle fera tout pour que cela change, ce qui peut parfois devenir lourd pour la personne concernée. En dehors de chez elle, elle n’aime pas la solitude et être entourée en devient presque vital.


Je t’ai aimée. Je crois. D’un amour pur et sincère, comme un enfant peut le donner. Je me souviens de tes longs cheveux noirs qui m’enveloppaient comme un rideau dès que tu me prenais dans tes bras, de tes grands yeux verts qui brillaient comme deux lumières dans l’obscurité, de la chaleur de ta voix qui me parlait, encore et encore. Tu me disais que j’étais belle, que je le serai davantage en grandissant, que je serai puissante, que je m’élèverai au-dessus de tous, que tous les sorciers me respecteraient, qu’ils ne seraient rien à côté de moi. Parce que Cernunnos lui-même m’avait choisie. Tes paroles faisaient loi et je les buvais avec grand intérêt. J’ai mis du temps à comprendre pourquoi tu me disais tout cela, pourquoi tu me portais davantage d’égard qu’à cet homme que je savais être mon grand-frère. De presque vingt ans mon aîné, il a toujours été là. Peu importe où je regardais, j’avais l’impression de croiser son regard brun aussi chaud que le chocolat fondu que tu mettais sur mes gaufres le matin, quand, parfois, tu acceptais de prendre le petit déjeuner avec moi. Hyacinthus a toujours été gentil envers moi, même s’il était un peu distant avant. Je n’ai jamais compris pourquoi tu me disais que je serai meilleure que lui, que je n’avais rien à lui envier, qu’il ramperait à mes pieds comme les autres parce que c’était un homme. Je ne comprenais pas pourquoi tu disais cela alors que mon frère me paraissait inébranlable. Il me disait des mots gentils quand je pleurais, il venait me réconforter quand je faisais des cauchemars la nuit, il me disait que je devais être sage et forte. Il me rappelait un peu Papa. Je n’ai pourtant que très peu de souvenirs de ce dernier. Je me souviens simplement de son regard attendri, de sa grande main qui enveloppait la mienne et de cette odeur de menthe qui le suivait partout. Les seuls souvenirs que j’ai de lui proviennent de tout ce que tu m’as dit à son sujet.

Papa était un mauvais sorcier qui a trahi Cernunnos, en plus de trahir sa famille. C’est ce que tu me disais. Il m’a enlevée à toi pour fuir loin du Pays de Galles, fuir le Coven. C’était un homme orgueilleux et avide de pouvoirs, il voulait garder ma puissance pour lui seul, il ne croyait pas en moi mais souhaitait simplement se servir de ce que je possédais. Je n’étais qu’une enfant, alors je t’ai cru. Parce que tu étais mon modèle, tu étais la source de ma vie, la réponse à mes peurs, à ce que j’étais. Je devais te suivre, te croire, t’écouter et te regarder. Tes paroles faisaient loi, pourquoi ne t’aurais-je pas cru ? Pourquoi aurais-je douté de toi ? A mes yeux de petite fille, tu étais belle, grande, puissante, les gens te respectaient et t’écoutaient. Tu ordonnais, ils obéissaient. Tu as toujours été un modèle, je n’avais aucune raison de penser le contraire. Tous les autres sorciers me disaient la même chose : mon père était un homme mauvais, il ne méritait plus de vivre. Tout le monde s’accordait à dire cela. Alors je les croyais, je te croyais, je continuais de penser que je te remplacerai un jour parce que j’étais ta fille, choisie par Cernunnos.

Mais il y avait Hyacinthus. Lui ne me disait pas que je serai la plus puissante ou la plus belle, il ne me disait pas que les gens ramperaient à mes pieds. Non, mon frère me demandait comment j’allais, me montrait de nouveaux livres à découvrir, m’offrait des carnets, des beaux stylos, me faisait écouter de la musique, jouait avec moi aux jeux de société et me faisait rire quand il perdait. Je n’avais pas de copains quand j’étais enfant. Je n’allais pas à l’école. Tu faisais venir des précepteurs pour m’apprendre à lire et à écrire, et toi, tu m’apprenais les bases de la sorcellerie, notre histoire, notre passé, notre présent et notre avenir. J’étais seule, entourée d’adultes qui me regardaient avec admiration ou avec suspicion. Parfois, je parvenais à voler quelques temps devant la télévision et je voyais des enfants qui jouaient ensemble et je ne comprenais pas pourquoi j’étais seule. Alors je pleurais parce que je voulais aller à l’école et tu me grondais en m’expliquant que je ne devais pas m’abaisser au niveau des humains. Que j’étais bien au-dessus de ça. Alors j’arrêtais de pleurer, serrais mon chat en peluche contre moi et je redevenais cette petite fille introvertie et seule que j’étais.

Quelle déception as-tu dû ressentir, Mère…

Toi qui avais placé tant d’espoirs en moi, j’ai pu voir ton comportement changé. Quand il est venu pour moi le temps d’apprendre les arcanes de la sorcellerie, quand mon corps t’a soufflé qu’il était temps pour moi de devenir une femme, tout a changé. Je me souviens de ta patience au début de mon initiation. Elle n’a pas duré. Au fil du temps, il s’est avéré que mon talent n’était que factice, voire même inexistant. Je n’ai jamais été douée pour ça. Avec le temps, je me demande si ce ne serait pas la trop grande pression que tu as placée sur mes épaules qui m’a empêché d’être un minimum douée dans ce domaine ? Si tu avais vu en moi autre chose que l’Elue de Cernunnos, est-ce que j’aurai pu me détendre et me perfectionner dans ces arts sombres ? Serais-je devenue quelqu’un d’autre ? Il m’arrive de me poser la question encore aujourd’hui.

Si tu n’étais pas morte, peut-être que les choses auraient été différentes…

Sais-tu Mère, que j’ai beaucoup pleuré ta mort ? Je n’avais que treize ans après tout et tu étais mon monde, ou du moins une grande partie. Apprendre que Luciana et toi vous étiez mutuellement donné la mort n’avait eu aucun sens pour moi. Je ne comprenais pas, aveugle que j’étais face aux rivalités qui pouvaient se dérouler autour de moi.

Mon monde était si petit.
Ta mort l’a agrandi.

J’ai beaucoup pleuré c’est vrai, avant de me renfermer. J’ai suivi Hyacinthus en Autriche, sans rien dire. Tout m’était égal. Je n’avais plus de père, plus de mère, plus rien à quoi me raccrocher à part mon frère. Alors je n’ai rien dit et je l’ai suivi. Qu’aurais-je pu dire de toutes façons à treize ans ? Je n’étais qu’une enfant. Une enfant qui ne connaissait rien. Absolument rien. Il m’a expliqué que dorénavant c’était la Mère de la Nuit qui serait mon guide. J’ai simplement acquiescé, sans réellement comprendre. Ou bien peut-être que je n’avais juste pas envie de comprendre.

Avec le recul, je me dis que j’aurai aimé que tu me vois telle que je suis aujourd’hui. Hyacinthus m’a inscrite à l’école rapidement. Il a souhaité que je grandisse normalement. Mais comment faire quand on a passé treize ans enfermée dans un cocon ? Rencontrer d’autres enfants de mon âge, se faire des amis, sortir en ville, prendre le bus, apprendre aux côtés de professeurs autres que des sorciers, côtoyer des humains… J’ai mis du temps à m’y faire, à m’ouvrir aux autres, à retrouver le sourire après ta mort venue trop brusquement. Heureusement que mon frère était là. Les premiers mois, j’avais besoin de sa présence plus que jamais. Je m’endormais contre lui régulièrement, je le cherchais, lui parlais, parce qu’il était le seul à me comprendre. Il me demandait mon avis sur la décoration du salon de thé et cela m’amusait de choisir telle ou telle couleur. Et puis j’avais Salem, cette petite chatte rousse qu’il m’avait offert à notre arrivée. Grâce à eux, j’ai grandi doucement, j’ai apprivoisé le monde, je me suis fait des amis à l’école. J’ai découvert ce que c’était que d’être une jeune fille. Malheureusement, à côté de ça, mon talent pour la sorcellerie ne s’améliorait pas. Hyacinthus était patient pourtant, mais chaque échec était une épine plantée dans mon orgueil, que tu avais pris soin de cultiver. Les traumatismes vécus associés à ces échecs répétés ont fait naître en moi une colère qui s’est mise à exploser dans des moments aléatoires. Je criais, pleurais, brisais… Ce n’est que lorsque je commençais à me faire souffrir que mon frère intervenait pour me calmer. Et je pleurais encore…

Aujourd’hui, je pense pouvoir dire que je vais un peu mieux. Il m’arrive encore de perdre le contrôle de moi-même, mais c’est plus rare. J’ai abandonné l’idée de parvenir à faire quelque chose en sorcellerie. A dix-huit ans, j’ai tout envoyé valser. Cela m’est égal d’être nulle. La sorcellerie, ce n’est pas pour moi. Peu importe que Cernunnos et la Mère de la Nuit m’aient choisie, ou que tu aies voulu faire de moi une sorcière puissante, ce n’est pas moi. Alors j’ai tout abandonné pour me concentrer sur autre chose. J’ai voulu faire des études de droits, mais ça ne m’intéressait finalement pas. Alors je me suis dirigée vers la littérature moderne. Lire, c’est ce qu’il me plait. Etudier les grands auteurs, connaître leurs histoires, me perdre des heures dans tous ces écrits différents, décortiquer leur construction, analyser la mécanique de chaque mot, chaque phrase. Mais plus que cela, c’est écrire qui me plait. Il m’a fallu un peu de temps pour réaliser que je notais tout, tout le temps. C’est Hyacinthus qui a eu l’idée de me demander de retranscrire chaque réunion du Coven. Je le soupçonne d’avoir simplement fait cela pour me convaincre d’y participer et pour être honnête ça a fonctionné.

Pendant longtemps, j’ai pleuré ton absence dans ma vie, jusqu’à il y a cinq ans, quand j’ai su la vérité de la bouche de mon frère après que je la lui ai demandée.

Mon père n’était pas un mauvais sorcier. Il a trahi le Coven c’est vrai, il t’a trahi également, mais il a simplement fait cela pour me protéger de ton emprise. Au début je n’ai pas voulu croire Hyacinthus, après tout tu étais ma mère, mon modèle et, même si tu m’en demandais beaucoup à l’époque, je ne parvenais pas à croire que tu aies pu tuer mon père, ton mari, aussi froidement, simplement parce qu’il a voulu me protéger. Je crois que c’est connaître cette vérité qui m’a fait abandonner l’idée de devenir une sorcière douée. Je ne veux plus que tu aies un quelconque impact sur ma vie, de quelque façon que ce soit. Alors j’avance à ma façon, comme je le désire, sans me demander ce que tu aurais pensé de telle ou telle chose.

Je t’ai aimée Mère. Encore aujourd’hui, je pense qu’il reste encore un peu de cet amour en moi, enfoui quelque part. Il m’arrive de me demander si, toi, tu m’as aimée. Je n’aurai jamais cette réponse et j’essaye de vivre sans.

Au revoir Mère.

Ta fille, Hana.

hey you, who are you ?

Bonjour, moi c'est Libellule ! J'ai 28 ans (bientôt 29) et j'ai commencé le rp il y a... 14 ans ? Je crois... J'ai connu Circée par l'intermédiaire de Hyacinthus qui a fini par me convaincre de vous rejoindre. Il a bien fait :3 J'aime beaucoup votre forum !  
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Hyacinthus Renfield
Sorcier Frère Supérieur

Hyacinthus Renfield
Sorcier Frère Supérieur
Dim 12 Avr - 17:17
Salut sœurette chérie

Tu es sûrement une sorcière [Terminée] Tumblr_mctw4rViPz1rasay6o1_500

Hâte de lire ta fiche >w<
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Zoltan Zapolya
Traqueur Ombre du Soleil

Zoltan Zapolya
Traqueur Ombre du Soleil
Dim 12 Avr - 19:57
Le feat est super ! Même si du coup on le connaissait un peu en avance x)

Hâte de voir ta fiche Hana ! Promis après le flood t'ouvriras grand ses portes !
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Maery Gal
Sorcière

Maery Gal
Sorcière
Dim 12 Avr - 20:20
Tu es sûrement une sorcière [Terminée] Giphy.gif?cid=ecf05e47ccb03de7790071fff3750cdd2c6109693a5d721b&rid=giphy

Hey ! Tu es tellement adorable et innocente tout le contraire de ton frère !
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Hana Renfield
Sorcière

Hana Renfield
Sorcière
Dim 12 Avr - 22:01
Merci beaucoup à tous ♥
Je suis contente que mon avatar plaise, j'ai eu un vrai coup de cœur pour cette artiste ♥

J'essaierai d'écrire ma fiche dans la semaine, en espérant ne pas vous décevoir @@
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Lysander Dahan
Sorcier Frère Supérieur

Lysander Dahan
Sorcier Frère Supérieur
Sam 18 Avr - 2:13
Bon, je parle un petit peu avec ton frère et disons que nous avons tous deux fort hâte de te voir évoluer sur le forum ! Tu es sûrement une sorcière [Terminée] 3112228783

Aussi, merci de m'avoir fait découvrir Pomme ! Très jolie chanson !
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Hana Renfield
Sorcière

Hana Renfield
Sorcière
Dim 19 Avr - 15:22
Merci Lysander ! Oui mon frère m'a dit ça Tu es sûrement une sorcière [Terminée] 1231628735 Ce sera avec plaisir Tu es sûrement une sorcière [Terminée] 1231628735
Pomme est la meilleure ♥


J'annonce que ma fiche est enfin finie Tu es sûrement une sorcière [Terminée] 874740122
Je m'en remets à votre jugement Tu es sûrement une sorcière [Terminée] 4096114102
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Maery Gal
Sorcière

Maery Gal
Sorcière
Dim 19 Avr - 16:36

Bravo Jean-Hana, ça passe crème !
Franchement, bravo tu offres à travers cette fiche une autre vision de la sorcellerie beaucoup moins belle. De plus, tu élargis les horizons avec un autre coven en respectant parfaitement l'univers du forum. Hana est touchante et Hana est humaine, surement la plus humaine des sorcières. Elle a été soumise à un destin horrible et heureusement qu'elle avait son frère à ses côtés. Ton écriture est très agréable à lire je n'ai rien à redire, cela à été un plaisir de m'occuper de ta fiche. Sur ce tes couleurs !

• Si tu as besoin d'un lieu particulier (autre qu'une habitation) tu peux demander en faisant un post rapide en cliquant ici ;
• Tu trouveras en cliquant par là où poster tes liens pour tes nouveaux potes ;
• Et demande ton premier RP par ici !

À bientôt sur Circée ! ☆
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Hana Renfield
Sorcière

Hana Renfield
Sorcière
Dim 19 Avr - 16:41
Olalala, que de compliments, je suis touchée >////<
Merci beaucoup Maery ♥
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